Résumé : Les auteurs rapportent un cas de dysérection trompeuse traitée comme une impuissance organique et ayant conduit à la pose d'une prothèse pénienne. Par la suite la résistance à l'utilisation de la prothèse a entraîné son ablation. Un changement de thérapeute a comporté des entretiens avec le couple associés à des injections intracaverneuses qui ont permis la reprise des rapports sexuels.